Véronique Vercheval​ Photographe

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    Reportage réalisé en 2015-2016

    pour Dynamo International avec

    les travailleurs sociaux de rue dans

    5 pays membres de la plateforme.

    Sa a 36 ans. Elle a fait des études la préparant au travail social à l’université. Elle a d’abord travaillé comme bénévole et a été engagée en 2005. Elle vient régulièrement à la pagode où les enfants font de petits boulots le soir. (Vietnam, Ho Chi Minh Ville, 2017)
    Travailleuse à la décharge (Vietnam, Danang, 2017)
    Maolen a 7 ans. Hué, la travailleuse sociale, est venue la chercher dans sa famille où elle avait passé un congé. Elle la ramène à la « Familly 5 » le centre d’hébergement où elle vit, sa famille ne pouvant s’occuper d’elle. (Vietnam, Danang, 2017)
    Hoa travaille depuis plusieurs années comme travailleur social de rue. Il va sur les marchés, parle avec les familles, distribue de l’information notamment sur l’avortement. (Vietnam, Ho Chi Minh Ville, 2017)                 
    Kim Chi participe aux maraudes. Elle écoute les jeunes mères qui dorment à la rue, informe et tente de soulager ces femmes confrontées à la grande pauvreté et à une terrible insécurité. (Vietnam, Ho Chi Minh Ville, 2017)
     La rue c’est aussi la vie, le rire, la solidarité. Ionut et les jeunes de Parada se préparent pour la représentation de cirque. Nombreux sont ceux qui ne peuvent compter que sur les soins médicaux apportés par les équipes mobiles des travailleurs sociaux de rue. (Roumanie, Bucarest, 2015)
    Nombreux sont ceux qui ne peuvent compter que sur les soins médicaux apportés par les équipes mobiles des travailleurs sociaux de rue. Nombreux sont ceux qui ne peuvent compter que sur les soins médicaux apportés par les équipes mobiles des travailleurs sociaux de rue. (Roumanie, Bucarest, 2015)
    Les jeunes de la Fondation Parada y apprennent les techniques de cirque. Ils vont le soir dans les quartiers défavorisés dont ils sont, parfois, originaires afin d’offrir une représentation à la lueur des phares de voiture. (Roumanie, Bucarest, 2015)
    Comme dans la plupart des pays dit « industrialisés », le nombre de « sans domicile fixe » augmente dans certains quartiers de Jérusalem-Ouest. Les travailleurs sociaux de rue sont souvent la dernière chance contre l’exclusion sociale. (Israël, 2016)
    Sur le square près de la gare de Jérusalem-Ouest il y a un lieu de rendez-vous bien connu des jeunes dont s’occupent les travailleurs de rue d’Elem. Le regard, cette faculté qui permet de créer un contact avec l’autre. Ensuite, un sourire, un bonjour sont souvent les portes d’entrée vers une nouvelle relation et de nouvelles discussions. (Israël, 2016)
    Le cirque est un excellent outil pédagogique, y compris pour les travailleurs sociaux de rue. L’enfant peut s’y épanouir et reprendre confiance. La Palestinian Circus School propose des stages, des camps d’été ou des activités ludiques. De nombreux jeunes des camps de réfugiés y ont trouvé le moyen de s’exprimer, de raconter leur vécu. (Palestine, Birzeit, 2016)
    Construire des ponts avec les écoles, les centres de jeunes, les organisations communautaires fait partie du quotidien des travailleurs sociaux de rue. Par exemple, la collaboration avec Médecins du Monde, dont la mission essentielle est de s’occuper des traumatismes engendrés par l’emprisonnement des jeunes dans les prisons israéliennes. (Palestine, Camp de réfugiés d’Al Arrub, 2016)
    En rue, rien n’est prévisible. Les travailleurs sociaux de rue vivent à chaque fois une histoire différente qu’il est impossible d’écrire à l’avance. (Palestine, Camp de réfugiés d’Al Arrub, près d’Hébron, 2016)
    Les stratégies de survie dans la rue sont multiples. De la prostitution à la vente d’oeufs, le travailleur social de rue entre avec eux dans le grand jeu de la débrouille. (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Depuis près de 20 ans, Ambroise aide des milliers d’enfants dans les rues de Kinshasa. Il a d’abord été journaliste mais, intéressé depuis toujours au sort des enfants des rues, il s’est reconverti. Sans moyen, il doit faire preuve de créativité pour trouver des solutions aux difficultés vécues par ces populations de rue. (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    La distribution de préservatifs auprès des populations prostituées est fréquente dans le travail social de rue. Elle est essentielle pour prévenir les grossesses non désirées et les risques d’infections  sexuelles. (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Ils viennent de la rue ou de familles aisées : une soixantaine de jeunes se retrouvent sur la place commerciale de Limete pour leur entraînement à la Capoeïra. Cet art martial, introduit en RDC au début des années 2000 par Braz, travailleur social de rue, de Dynamo AMO, est, entre autres, utilisé pour aider à la réinsertion des enfants dits « soldats ». (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Anita sur le marché de Gambela. Dépourvue de moyens, elle pare au plus urgent. Mais quand un cas grave se présente, elle n’a pas les moyens d’envoyer les enfants à l’hôpital, qui est payant. (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Derrière le Stade de la Victoire, les enfants se regroupent pour le passage des travailleurs de rues. Anita procure les premiers soins (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Les personnes les plus vulnérables sont les jeunes mères qui, avec leurs bébés, n’ont que la rue comme habitat. Elles se regroupent le long des avenues pour se protéger. Des générations entières sont ainsi condamnées à cette précarité. (République Démocratique du Congo, Kinshasa, 2016)
    Souvent les personnes qui ont retrouvé un logement et des moyens de subsistance ont besoin d’un support pour gérer les problèmes administratifs ou de voisinage. Nancy fait régulièrement le tour de ses «protégés». (Belgique, Ostende, 2016)
    Sur le terrain, les liens se construisent au jour le jour à travers un « Bonjour», une attention ou simplement la chaleur humaine. Une des missions des travailleurs de rue vise la cohésion sociale, la prévention de la marginalisation des jeunes. (Bruxelles, 2016)
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    Quand Nancy entre, tout le monde la salue. Elle prend un coca, participe un peu au jeu, prend à part une personne qui est confrontée à un problème et repart. Ainsi se construisent des solidarités inattendues. (Belgique, Ostende, 2016)
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    © 2019 Véronique Vercheval

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